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À très vite »
Aux souffles du silence, musique devient clef
Violon est l'amour, Stradivarius sont ses yeux
A l'archet de nos mains, à une lumière sacrée
De l'opéra de la nuit, ce crépuscule des dieux
A l'aube jouissance, son concerto pour une voix de Saint Preux ...
Caresses ses songes, au berceau de mes nuits
Les iris de ces yeux au profond bleu de Sèvres
Constellent à la toile sa douce heure de minuit
Blonds les blés, coquelicots la pulpe des lèvres
Le secret de la vie, l'oeuvre nature de l'orfèvre ....
Il est le platonique celui qui ne détruit
Au prétoire de la vie son rêve inavoué.
La prison des jours, sa coupe de fruits
Où se croque l'amour, la savoir exister.
Commune la rose, délicate est la pensée ...
Ce palissandre des yeux, sa flamme chaleur
Ourlent au charme, leurs galons de lumière.
Des saisons de Vivaldi, l'Estate en G mineur
A l'archet d'un Stradivarius la note séculaire.
Au royaume de l'âme, le regard n'est éphémère ...
Une société de sillons devenus incultes
C'est là mettre la charia avant l'hébreu
Des oubliés mots je t'aime, une insulte
Descendre du train regonfler les pneus.
Financier est gâteau, il n'est nulle part pour les gueux ...
Ils tuent pour un acre de mieux, un arpent de plus
Du sang versé, la mort n'en demande le moratoire.
Intestine la guerre au transit de vie, l'infecte rebut
Une religion est vue de l'esprit où à n'en pas croire
Le canon de Pachelbel écouter, la haire au déversoir ...